Résumé : |
Si l’écriture est un combat, Victor Hugo en est le bras armé. Lorsqu’il meurt en 1885, son cercueil est suivi par une foule de deux millions de personnes, qui le remercient d’avoir eu pour passion la liberté et l’amour des pauvres. Mais l’on n’entre pas au Panthéon des grands hommes de France, lieu mythique où sont déposés les restes des personnes qui ont marqué le pays, sans avoir lutté sa vie entière pour la justice et la dignité.. |